par Chloé Sainte-Marie Voir le PDF C’est l’été dernier, à l’Isle-Verte, devant la grande souche « bois-de-dérive » servant d’épitaphe à Gilles Carle, que j’ai senti une voix… la sienne… qui me disait : « Allez, allez, vas-y, le temps est venu de continuer ton travail. Pars, pars et regarde vers l’avant ».