par Simon Dabin Voir le PDF Les tensions récentes entre la ville d’Oka et la communauté de Kanesatake ou les polémiques entourant l’utilisation du terme «génocide » par la Commission d’enquête sur les femmes autochtones disparues et assassinées (plutôt que de discuter des recommandations dudit rapport), démontrent la persistance des violences institutionnelles à l’encontre des Autochtones.