J’ai embrassé le chant de l’olivine rêveuse avant qu’elle ne touche le sol

Par Stève Michelin Voir PDF   * Fleur givrée de l’Esprit comète odorante j’appelle tes abeilles ramant dans la pure simplicité de l’épanchement Ma raffinerie est endolorie Toutes mes mers se lavent des débris du jour pour guetter les bêtes sauvages Le chant d’un naufrage frontalier.